#calendrier républicain français
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francebonapartiste · 9 months ago
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11 Ventôse an 232 (1er mars 2024)
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🇨🇵 Le 11 Ventôse, dans le calendrier républicain français, correspond généralement au 1er mars dans le calendrier grégorien. Cette journée est connue comme la
"journée de la herse".
La herse est un outil agricole utilisé pour briser les mottes de terre et niveler le sol après le labour, préparant ainsi le terrain pour la plantation des semences. Le 11 Ventôse était donc dédié à cette étape cruciale du processus agricole.
Après le travail de la bêche, qui consiste à retourner la terre, vient l'étape de la herse pour affiner la surface du sol, améliorer sa structure et favoriser une meilleure répartition des éléments nutritifs. Cela permet également de faciliter la germination des graines et la croissance des plantes.
Ainsi, le 11 Ventôse représentait une journée où les agriculteurs se concentraient sur la préparation minutieuse des champs en vue des futures récoltes. C'était une étape essentielle dans le cycle agricole, soulignant l'importance du travail du sol pour assurer le succès des cultures et la sécurité alimentaire de la communauté.
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🇬🇧/🇺🇲 On the French Republican calendar, the 11th Ventôse generally corresponds to the 1st of March in the Gregorian calendar. This day is known as the "day of the harrow".
The harrow is an agricultural tool used to break up clods of soil and level the ground after plowing, thus preparing the soil for seed planting. The 11th Ventôse was dedicated to this crucial step in the agricultural process.
After the work of the spade, which involves turning over the soil, comes the harrowing stage to refine the surface of the soil, improve its structure, and promote a better distribution of nutrients. This also helps facilitate seed germination and plant growth.
Thus, the 11th Ventôse represented a day when farmers focused on meticulously preparing the fields for future harvests. It was an essential step in the agricultural cycle, highlighting the importance of soil work in ensuring the success of crops and the food security of the community.
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francepittoresque · 1 month ago
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21 octobre 1793 : la Convention adopte le calendrier républicain ➽ http://bit.ly/Decret-Calendrier-Republicain Par décret, la Convention adopte ce calendrier, avec le tableau annexé en reproduisant la nomenclature, la dénomination et les dispositions sous le titre de « Annuaire républicain », l’usage en étant instauré le 24 novembre suivant
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claudehenrion · 2 years ago
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Il était une fois… le 14 décembre.
  Un jour comme les autres, sûrement, pour vous. Pour moi, c'est un jour un peu spécial, Comme si souvent, faisons un petit “retour sur image”. L'année 1934 se terminait sans autres histoires que toutes celles qui l'avaient secouée… mais pas spécialement plus qu'une autre. Mais comme l'action allait se dérouler à Rabat, il faisait doux, le ciel était “normalement” d'un beau bleu profond… et je m'apprêtais à tomber du bec de la cigogne qui m'avait porté jusque là, 5 ème enfant d'une famille qui en comptera 6 neuf ans plus tard. Bref, ‘’RAS’’… Sauf, peut-être... pour moi !
Et pourtant, outre et au delà de la rencontre France-Maroc en quarts de finale de la Coupe des Nations, c'est vraiment la date la plus importante de ma vie. Il ne me suffit pas d’être né le 348 ème jour de l'année du calendrier grégorien et qu'il reste 17 jours avant la fin de l'année, que le signe du zodiaque soit “Sagittaire 3 ème décan’‘—spécificité à laquelle je dois que tous les horoscopes m'annoncent, d'une manière surprenante, des voyages en été, des cadeaux à Noël et des changements –ne serait-ce que de millésime– vers le 1er janvier… Je ne suis pas peu fier d'être né le ‘’XIV.XII.MCMXXXIV’’, qui fut le 24ème jour du mois de Frimaire dans le calendrier républicain / révolutionnaire français, où ce jour-là  était officiellement le ’'jour de l'oseille”. Mon ordinateur, consulté (à des prix plus abordables que les consultants de Mac Kinsey qui arrivent à eux seuls à plomber les comptes de la nation) m'informe –et ça, c'est une info utile– que “le 14 décembre tombe entre le 13 décembreet le 15 décembre”, je jure que c'est vrai. Je n'ai pas eu le temps de vérifier si c'est cette année seulement ou tous les ans. Je vais le faire, c’est promis !
J'ai donc profité du fait que, pour la première fois depuis que ce Blog existe je partage avec vous la date inaugurale du début de mon vieillissement –qui, plutôt lent et majestueux dans les années 34 à 54, aurait plutôt tendance à s'accélérer dangereusement ces temps derniers– pour me livrer à quelques petits calculs qui m'autorisent à vous avouer sans fausse honte mais sans joie particulière, que j'ai vécu, jusqu'à ce jour, 32 142 jours, autrement dit, 4591 semaines réparties sur 1055 mois, ce qui me semble énorme. Je dois être très vieux, si on y réfléchit !
J'ai ensuite cherché ce que camouflait, renfermait, proposait cette date significative (pour moi et quelques autres personnes), et j'ai découvert que, en l'an de disgrâce 1582, il n'a pas eu de “14 décembre”, les pauvres : par la faute de l'adoption du calendrier grégorien, le lendemain du dimanche 9 décembre s'est retrouvé être… le lundi 20 décembre, directement, sans tambours ni trompettes, et sans “14”, pauvre de moi, ce qui, si cela se répétait de temps en temps, me rajeunirait de�� ??
Mais en plus de ma naissance, dont tous les terriens vivant en 1934 se sont pas mal foutu –à la seule exception de mes chers parents–, il s'en est passé, des choses, “un 14 décembre”, à commencer par le rattachement de la Provence au Royaume de France, le 14 décembre 1491, ce qui, pour le mouginois amoureux de son village que je suis, est une date à marquer de pierres blanches ! C'est à la même date, mais en 1939, que l'URSS a été exclue de la Société des Nations après son attaque de la Finlande, ce qui confirme qu’il n'y a jamais rien de nouveau sous le soleil ! Et ce n'est donc pas sans plein de bonnes raisons (que je n'ai pas encore trouvées, mais ça ne saurait tarder !) que c'est ce même jour qu'on fête (à vrai dire selon des degrés très variables) la fondation de l'Empire du Japon il y a 2680 ans (si je n'ai pas fait d'erreur de calcul), ce qui explique sans doute pourquoi les Empereurs Nippons ont tous, toujours, l'air souffreteux, décharnés, momifiés !
Outre votre humble et très dévoué serviteur, quelques autre personnages, illustres, eux, ont choisi cette date pour faire leur entrée fracassante dans le monde (la mienne étant plutôt dans le style “pour vivre heureux, vivons cachés” !). Le plus ésotérique de mes “jumeaux pour partie” est sans doute le mirifique Michel de Nostredame, dit Nostradamus dans les milieux décentrés. Né en 1503, c'était un médecin, apothicaire, astrologue et écrivain français (on me dit qu'il avait créé  un “Blog” qu'il avait baptisé, sans aucune raison sérieuse...  “Comprendre demain”… ce qui, pour lui, avait un sens !). Le 14 décembre 1548 naissait Tycho Brahe, le grand astronome danois, ami et parfois concurrent de Keppler et Copernic, que les observations de la supernova de 1572 ont rendu célèbre “in illo tempore” (= en ce temps-là). Et c'est aussi un 14 décembre, mais en 1610, que l’Église catholique finit par remettre en cause l'immuabilité du monde supra-lunaire énoncée par Aristote et abandonna le système géocentrique de Ptolémée, au profit de celui de ce Tycho Brahe, plus conforme aux observations. Plus près de nous, le Roi George VI d'Angleterre et d'un Empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais, père de la Queen Elizabeth que les républicains français ont pleurée si abondamment le 8 septembre dernier, avait choisi cette date pour venir au monde. C'était en 1895.
Des saints, aussi, et par calendriers pleins, ont été rangés comme nés ce jour-là par le “Livre des Saints” (dont le vrai nom, le “Synaxaire Hagiographique”, demande un vrai effort de mémorisation si on a besoin de le glisser en douce dans un “dîner en ville” --ce qui, il faut le reconnaître, arrive assez rarement. Mais c'est un superbe moyen mnémotechnique de se souvenir de ce dont on n'a pas besoin !). Rassurez-vous, je ne vais pas vous dérouler des listes de noms plus ou moins barbares (pas mal de Saints ont eu des états civils à faire frémir les générations actuelles) mais, tout simplement, vous en remettre 4 ou 5 en mémoire (autre manière de dire : je doute qu'ils y aient jamais été, sans mettre la moindre malice dans cette remarque
Sont ainsi commémorés liturgiquement le 14 décembre : Saint Jean de la Croix, qui est l'un de 35 Docteurs de l'Eglise, Sainte Odile, abbesse de Hohenbourg et Sainte patronne de l’ Alsace (“Bonne fête aux Odiles”), Sainte Eutropie ( martyrisée à Reims, et  par les Vandales, s'il vous plaît (ces types-là, il valait mieux les éviter, comme nos “racailles” d'aujourd'hui !). Mais on ne sait pas si ce fut en 407 ou en 451. (C'est un cas à soumettre à la “Cellule d'éclaircissement des Cold Cases” ou cas non-résolus. En attendant, bonne fête également à toutes les “Eutropies”!)
Il y a eu, également, Saint Spirydon de Trimythonte († vers 348), évêque à Chypre –car je tenais à vous montrer de quelles cruautés les parents de ces époques étaient capables : outre que c'est trois fois à demi honteux de porter le nom de Trimythonte, appeler un pauvre enfant sans défense “Spyridon”, ça devrait être défendu. Heureusement pour lui, il a bien réussi dans le vie, et c'est donc, malgré son nom,  un très grand saint dans la liturgie grecque, sous le nom de saint Spyridon le Thaumaturge (Ο Άγιος Σπυρίδων, ο Θαυματουργός, vous l'aviez déjà deviné !). Et enfin, en ces jours de gloire pour notre belle, merveilleuse et goûteuse baguette nationale, et de la préparation aux ripailles qui sont devenues la raison d'être de l'ex grande et belle fête de Noël, je vais finir cette liste en évoquant Saint Jean du Pain (†  1150), frère cistercien à l'abbaye de Sagramenia, en Espagne. Il est surnommé “Jean du pain et de l'eau” en raison de son régime hyper-frugal.
Pour avoir fait le tour de cet intéressant sujet, iI ne me reste plus qu'à revendiquer fièrement un des “best-not-sellers” de tous les temps, le tout-à-fait confidentiel “Avenue du 14 décembre”, inoubliable ouvrage de poésie pour ceux qui l'ont lu –dont je ne fais hélas pas partie. Mais “dans mes vieux jours”, je ferai peut-être l'effort de l'acheter. Quant à le lire… je serai sans doute beaucoup trop vieux !
Il me reste à vous rassurer, si vous avez eu la patience de lire jusqu'ici ce “billet” : sur les trois “iso-jumeaux” dont je me gratifie. L’un est mon cher arrière petit-fils, l'adorable Dimitri –un an !–, et les deux autres sont deux ravissantes jeunes femmes dont l'une est une “successful” entrepreneur à Mougins, et l'autre brigue un Prix de piano au conservatoire de Paris. Débordantes d'intelligence et de talents, elles rajeunissent ce “billet”… et tout ce Blog, par leur seule présence ici. J'espère qu'elles n'ont pas trop honte de la promiscuité de partager leur anniversaire avec moi… même s’il se dit que nous ne serions pas de la même génération : je ne suis pas peu fier de les avoir “welcomé” dans notre “Congrégation du 14 /12” … et je leur souhaite à tous trois un bon, super, glorieux Anniversaire, dans la joie.
Un grand MERCI à tous, pour vos souhaits, vos chants, vos ‘’hugs’’ et vos superbes cadeaux. Non… Non…; je vous assure, ‘'C’était pas la peine ! 'Fallait pas…’’
H-Cl.
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dixvinsblog · 8 months ago
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Histoire et civilisation : Le calendrier républicain : Germinal sa signification et ses fetes
Voulez vous connaître à quoi correspondant votre date de  naissance dans le calendrier républicain  ? Pour avril : c’est “Germinal”  mois de la ” germination ” pour etre exact c’est le septième mois du calendrier républicain et révolutionnaire français correspondant, à quelques jours près (selon l’année), à la période allant du 21 mars au 19 avril du calendrier grégorien. Aujourd’hui le 11…
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franckdoutrery · 2 years ago
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Au mois de mars, gare aux comparses !
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Les Gaulois inventés par le tandem Goscinny-Uderzo se faisaient des Romains une idée sans doute caricaturale, si l’on admet que toute caricature réussie est basée sur un fond de vérité poussé à la démesure. Ainsi quand Obélix s’exclame : « Ils sont fous ces Romains ! », il ne fait qu’accentuer l’écart culturel entre les autochtones – avec leurs bardes, druides, livreurs de menhirs, voire leur potion magique –, et ces légionnaires latins venus occuper leurs contrées. C’est même la charge du trait qui fait alors sourire ou s’esclaffer. 
N’empêche que la différence ainsi brocardée repose sur quelques données historiques fiables qui dépassent l’anachronisme évident des Astérix. Par exemple le calendrier. Les Romains antiques découpaient l’année en dix mois, dont mars était le premier. Ce Nouvel An, pour nous en retard de deux mois, n’était pas l’occasion d’étrennes, mais le début des campagnes au double sens du terme : campagnes où on relançait les travaux agricoles du primum tempus, du printemps, et campagnes militaires, toutes deux mises en veilleuse pendant la morte saison. Or à quelle divinité était voué ce premier mois ? À Mars, dieu de la guerre, dont le nom avait servi aussi à baptiser la planète rouge et un jour de la semaine, le mardi. En effet, parmi les domaines où ces Romains excellaient, il y avait, outre la construction et la législation, la conquête militaire. De cet exercice sous le patronage de Mars, le français moderne a d’ailleurs hérité tout ce qui est appelé martial : les arts, la cour, le discours, la loi, voire l’expédition. C’est même celle-ci qui fut à l’origine de la Guerre des Gaules et de la présence dans nos contrées de celui qui, selon ses propres termes, « vint, vit et vainquit », j’ai nommé Jules César.
Or ce général, auquel Uderzo prête un indéniable facies romain – avec sa légendaire calvitie cachée par la couronne de lauriers –, ne vint pas seulement faire des siennes chez nous. Il réforma aussi le calendrier républicain, qui ne comptait à l’origine que 304 jours (dix mois alternés de 29 ou 31 jours, de Martius à December), auxquels une réforme antérieure avait déjà ajouté l’équivalent de deux mois flottants. Ceux-ci étaient laissés à la discrétion du grand pontife, qui devait tenir compte des jours fastes et néfastes, des fêtes religieuses et des dates mémorables de l’histoire de Rome. Ce qui causa moult décisions aléatoires ou approximatives et créa surtout un déphasage inquiétant sur l’année tropique. À l’époque où Jules accéda aux affaires, l’année comptait 355 jours en douze mois et se terminait par les quatre semaines de février. Sur proposition de son astronome Sosigène, il décida de mettre fin à « la grande confusion » en portant le cycle annuel à 365 jours, soit dix jours de plus. Et comme l’année antique expirait un 28 février, on convint d’y ajouter tous les quatre ans un vingt-neuvième jour par combler le retard sur le soleil. La décision devint effective en 45 avant notre ère, étant entendu que l’année débuterait désormais en janvier et non en mars.
Si on croyait encore aux augures ou aux diseuses de mauvaises aventures, on pourrait conclure qu’en l’occurrence le dieu Mars se vengea de cette relégation au troisième rang. Certes il avait béni les entreprises martiales de Jules, en particulier sa conquête de la Gaule, ses expéditions africaines et sa victoire dans la guerre civile de Rome. Mais le complot qui se tramait contre lui et qui se solderait par son assassinat, tomberait aussi en mars, plus précisément le 15 mars de l’an 44 avant notre ère. Autrement dit, si Jules n’avait pas réformé le calendrier, la date de sa mort violente eût été un jour quelconque des calendes, des ides ou des nones d’un autre mois. Peut-être même d’un mois flottant ou intercalé. Mars avait donc abandonné son martial général au milieu du mois qui lui était consacré, le mois de mars. Par Toutatis, ceci ne pouvait être pure coïncidence !
Jules ne perdit pourtant pas tout dans cette histoire. Car non seulement on l’avait déjà appelé César – nom d’origine obscure mais promis à un grand avenir, puisque c’est l’ancêtre de tous les futurs Kaisers et Tsars –, mais le sénat romain, toujours prêt à voler au secours de la victoire, décida de l’honorer en rebaptisant le cinquième mois de l’ancienne année – le Quintilis – en Julius. Ce qui nous donna le mois de juillet. Toutefois il fallut un certain temps pour que ces nouvelles arrivent aux camps romains (dont Babaorum et Petibonum) entourant le célèbre village gaulois. Lequel continua, continue et continuera toujours à résister à l’envahisseur, foi d’Obélix ! Comme le fait d’ailleurs le Parc Astérix près de Paris, où l’on peut notamment s’embarquer sur un grand huit décoiffant, qui porte le nom gaulois de … Goudurix.
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ceeturnalia · 4 years ago
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Today is nonidi 29 Frimaire in the year of the Republic CCXXIX, celebrating the olive. (via twitter)
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thefugitivesaint · 7 years ago
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Louis Legrand (1863-1951), 'Le calendrier républicain- Fructidor', ''Le Courrier français'', Sept. 9, 1888 Source “Frctidor is the twelfth month in the French Republican Calendar. The month was named after the Latin word fructus, which means "fruit".Fructidor is the third month of the summer quarter (mois d'été). By the Gregorian calendar, Fructidor starts on either August 18 or August 19 and ends exactly thirty days later, on September 16 or September 17. Fructidor follows the month of Thermidor and precedes the Sansculottides. The month is often used as a shorthand term for the Coup of 18 Fructidor.“ (Source)
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up-the-family-tree · 4 years ago
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C’est quoi les connaissances les plus bizarres ou inutiles en société que vous avez acquises avec la généalogie ?
Moi je pense que c’est de connaître le calendrier républicain en allemand. (L’état civil alsacien est pas en français avant les années 1810)
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ensubstances · 5 years ago
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Tiens, voilà du pudding
Le 14 octobre est le jour du navet dans le calendrier républicain, ce qui en fait une date aussi morne que ce légume. Il faut passer la Manche pour y dater deux faits historiques d’importance : le 14 octobre 1066, les troupes normandes de Guillaume le Conquérant battent les anglaises du Roi Harold (bataille de Hastings) ; le même jour en 1322, les Écossais sortent vainqueurs de la bataille d’Old Byland lors de la première guère d’indépendance de l’Écosse. Deux dates victorieuses qui nous rappellent que les Anglais sont des billes depuis au moins mille ans, et qu’il en va, dans l’Histoire, de la frontière irlandaise envisagée par Boris Johnson comme du mur d’Hadrien il y a presque deux millénaires : d’abord on en parle beaucoup, ensuite ça coûte plus cher que prévu et finalement ça ne sert pas à grand chose — à part faire mousser des hommes politiques. Si je vous parle de ces dates anciennes d’outre-manche, c’est pour évoquer le 14 octobre, qui serait la journée internationale du pudding. J’utilise un conditionnel car c’est toujours compliqué de se mettre d’accord sur les « journées internationales » de spécialités ridic… pardon, typiques, a plus forte raison qu’il y a déjà, concernant le pudding, plusieurs journées nationales : le 13 octobre, le National Yorkshire Pudding day, le 13 novembre, le National Indian Pudding Day, le 12 février, le National Plum Pudding Day, le 22 mai, le National Vanilla Pudding Day, le 26 juin, le National Chocolate Pudding Day. Deux spécialités sucrées se chamaillent le 15 juillet, le National Tapioca Pudding Day et le Gummie Worm Day ; le 9 août c’est le National Rice Pudding Day et le 19 septembre, le National Butterscotch Pudding Day. Pfiou. Ce qui nous fait une somme improbable de puddings, rien que d’en faire la liste j’ai des remontées acides. Soyons honnêtes, une journée internationale nous suffira et avec elle, juste une recette pour la commémorer. D’où vient le pudding ? L’origine n’est pas certaine, mais on préciser sa localisation grâce à l’étymologie : poten, podin, put, pud désignent, dans différents dialectes gaéliques, les viscères (boyaux, panse, vessie) d’animaux qui étaient nettoyées pour servir de contenant pour cuire les viandes au bouillon. Le pudding, c’est donc autant le nom de la préparation que son mode de cuisson : on cuit une viande dans un boyau. Voilà qui vous évoque sans doute le Haggis écossais mais également, à plus forte raison, notre boudin qu’on pensait franco-français mais dont le nom n’est finalement que la déformation du (black) pudding anglais. Boudin-pudding, même combat. Néanmoins l’histoire ne s’arrête pas à des considérations tripières. Le bag pudding ou (poding) s’est peu à peu répandu dans toute l’Angleterre. C’est aux Écossais qu’on doit une innovation majeure consistant à remplacer des viscères propres par un linge cousu : on parle alors de clootie pudding (le clootie en Écossais vous rappelle le cloth Anglais : le linge, torchon, serviette) dans lequel on fait cuire une masse d’ingrédients amalgamés. Il faut attendre le dix-septième siècle pour voir arriver le plum-pudding (sans doute parce les prunes n’y étaient pas familières avant cette période). De cette date, et alors que les moyens (et les ustensiles) de cuisson se modernisent, on trouve toutes sortes de pudding définis selon les ingrédients qui les composent, qu’il s’agissent des céréales (le pudding Victoria au riz), de restes ménagers (bread and butter pudding, welsh pudding à la chapelure, cabinet pudding aux biscuits), ou des matières grasses (graisse de rognon pour le suet pudding, de bœuf pour le monster pudding, un morceau de bravoure réalisé de 450kg qui mit trois jours à cuire et qui fut distribué aux ouvriers affamés de Lancaster victimes de la dépression du textile — Lancashire Cotton Famine, 1861-65). Le temps passant et avec lui, plusieurs avancées gastronomiques, le pudding s’est fixé de part et d’autres de l’Atlantique en quelques principes élémentaires : une crème à la vanille ou au chocolat, cuite au bain-marie – réminiscence de la cuisson au chaudron, dans au torchon ou en vessie – et enrichie de bricoles variées. Cette simplification apparente de dénomination vise autant les procédés (préparation, cuisson) que la texture, dense et riche, qu’on attend d’un pudding. Voilà pourquoi, à l’exception notable de la crème brûlée qui s’appelle partout pareil, tous nos bavarois, parfait, crèmes pâtissière et diplomate finissent par s’appeler, faute de mieux, vanilla pudding. La modernisation des moyens de cuisson, autant que la mode, auront favorisé l’essor du pudding, et le voilà qui traverse les Alpes. Il n’en fallait pas plus pour italianiser son nom : le budino est, lui aussi, une crème prise aux œufs (souvent au chocolat ou au caramel). Bref, voici deux recettes de pudding pour l’occasion : un classique bread pudding (sorte de pain perdu amélioré) avec une touche de caramel, ainsi qu’un rice pudding qui n’est autre… qu’un riz au lait. Bread pudding 1. Fouettez ensemble 6 jaunes d’œufs, 10gr. de maïzena et 350gr. de lait entier. Par ailleurs, faites fondre à feu moyen-fort 200gr. de sucre dans une grande poêle sans y toucher. 2. Lorsque le caramel commence à se former, mélangez-le délicatement au sucre encore en poudre. Mélangez jusqu’à obtenir un caramel homogène, un peu brun, voire fumant. Décuisez-le en versant en un filet régulier 350gr. de crème liquide entière. Le sucre risque de masser (de redurcir en raison de l’écart de température entre les deux ingrédients), mais il finira par refondre. Mélanger régulièrement sans vous impatienter. 3. Versez la crème aromatisée sur le premier mélange, en fouettant continument et jusqu’à obtenir une préparation homogène. Dans un plat à gratin, répartissez 2 tranches de pain rassis (ou de brioche, vive la France) coupées en gros cubes ; ajoutez quelques raisins secs, noix, noisettes…, ce que vous trouverez dans vos placards et qui pourra agrémenter la préparation ! Faites préchauffer votre four à 130°. Faites bouillir 2L d’eau. 4. Versez la préparation liquide dans le plat à gratin. Si les morceaux de pain surnagent trop, immergez-les à l’aide d’une fourchette le temps qu’ils se gonflent de liquide. 5. Transférez le plat dans la lèchefrite de votre four. Ajoutez l’eau bouillante avec précaution, puis enfournez 40 minutes. Vérifiez ponctuellement la cuisson : il ne faut plus que la préparation centre du plat bloblote. Lorsque la préparation est figée/cuite, éteignez le four. Laissez l’ensemble refroidir avant de sortir le plat de l’eau. 6. Réfrigérez le pudding jusqu’au service. Nettoyez votre lèchefrite. Invitez des amis pour le thé.
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Riz au lait 
  1. Cuisez 200gr. de riz rond à l’eau bouillante pendant 8 minutes, puis refroidissez-le en l’égouttant dans une passoire tenue sous un filet d’eau froide. 2. Remettez le riz à cuire à feu moyen avec 300gr. de lait, 300gr. de crème liquide entière, 2 ou 3 gousses de vanille fendues et 200gr. de sucre. Mélangez ponctuellement. 3. Lorsque le riz est encore légèrement ferme sous la dent mais qu’il reste du liquide, couvrez la casserole et laissez finir de cuire à l’étuvée, hors du feu. Si le liquide s’est évaporé trop vite, rajoutez de la crème, puis attendez la reprise d’une petite ébullition avant de retirer du feu. 4. Laissez parfaitement refroidir jusqu’à dégustation. Si vous craignez que son aspect « enduit de rebouchage » vous colmate l’estomac, vous pouvez de façon optionnelle lier le riz au lait (une fois refroidi) avec une chantilly ou une crème anglaise peu sucrées (sur le même mode qu’un risotto qu’on fouette avec un peu de beurre en fin de cuisson). Le riz au lait se conservera sans problème plusieurs jours au frais et plusieurs mois dans un mur dont il aura rebouché les trous.
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whencyclopedfr · 2 years ago
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Calendrier Républicain
Le calendrier républicain, également connu sous le nom de calendrier révolutionnaire français, fut créé pendant la Révolution française (1789-1799) dans le but de construire une nouvelle société distincte des vestiges de l'Ancien Régime. Implémenté pour la première fois en 1793, le calendrier resta en usage pendant douze ans, jusqu'en 1806, et fut remis en vigueur pendant 18 jours lors de la Commune de Paris de 1871.
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francepittoresque · 11 months ago
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1er janvier 1806 : rétablissement du calendrier grégorien ➽ http://bit.ly/Retablissement-Calendrier-Gregorien Le calendrier républicain n’avait jamais été adopté en France universellement : il en résultait une double manière de diviser l’année
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claudehenrion · 5 years ago
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Pâques 2020 : Alleluia, les cloches sont revenues de Rome (le lundi, pour une fois !)
  Chose très rare, les hasards du calendrier font coïncider, cette année, le Carême des Chrétiens, la Pessah des juifs (dont un des buts est ou était de chasser les épidémies), le début du Ramadan, ce jeune de la purification des corps, et le carême des républicains progressistes et adorateurs de la déesse ''précaution'', dont le rite se nomme ''un confinement''. Cette coïncidence a justifié, aux yeux de notre Président, de revenir sur les écrans : on avait perdu l'habitude de ne pas le voir ! (Pourquoi cette addiction est-elle toujours assortie de mauvaises nouvelles ?)
  Résumer son discours ? Il me semble que c'est faisable, en tout cas pour ce qui concerne le côté ''courtermovirus'' : on va rester confinés. Mais ‘’que jusque au 11 mai’‘, croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer'' . Enfin... jusqu'au 11 mai... pour ceux que cette mesure concerne. parce que les autres... ils devront continuer à se laver les mains avec de l'absence d'hydro-alcool, à porter des masques faits maison ou livrés en août, à jeter leurs mouchoirs (pour que d'autres puissent s'en servir ?), à tousser dans leur genou ou au creux de leurs reins... 
  Car s'il faut attendre (comme le racontent ces nuls qu'on a rebaptisés  Experts'') que 68 % des français aient croisé le virus depuis leur confinement destiné à ce qu'ils ne croisent jamais son chemin... et aient développé des anti-corps –en admettant que ça serve à quelque chose--, au rythme actuel, il faudra plusieurs années, si tout va bien : on en est à 1,5 million en trois mois, à peu près. Pour 40 millions environ, ça fait dans les 5 à 6 ans... ). (NDLR à propos des ''experts'' : en anglais, un postillon se dit ''SPERT'', et un ''ex-spert'' est donc un postillon usagé, ce qui explique pas mal de choses ! Quels regrets il faut avoir, pour une fois, de n'être pas anglais : tout aurait été tellement plus facile à comprendre !).
  Moralité : ''à part rester confinés là où vous êtes... vous faites quoi, l'été  prochain ?''. D'autant que pour les hôtels, les restaurants, les terrasses de café ou les camping ex-paradis, le 11 mai, c'est au mieux... mi-juillet ! Quand aux vieux, soudain devenus ''nos anciens que leurs proches pourront désormais  approcher au moment de leur mort'', pour eux, ce sont les calendes grecques qui s'éloignent : les plus chanceux d'entre eux revivront ''des vacances'', une fois encore, au mieux.
  Notre Président a conclu sur un vibrant ''nous devons tous changer...'' se terminant sur un timide (et modeste) ''même moi...''), mais il ne change vraiment pas ! Dix bonnes minutes sur 34 passées à énoncer tous ceux qu'il tient à remercier, alors qu'une périphrase (dans le genre ''Merci à tous ceux qui se sont dépensés et ont permis de sauver les meubles'') suffisait : les gens ne sont pas idiots ! Il ne lui a pas échappé qu'il y avait eu ''des failles et des manques''... mais ''comme tous les pays du monde''  (sous entendu : on ne regrette rien et on a eu tout juste, quoi que vous pensiez !), un trait remarquable de son discours étant que tout ce qui s'est fait sans lui, sans le gouvernement et surtout sans ses ministres, sans ses hauts fonctionnaires, sans ses ''experts -et le plus souvent contre eux tous, en fait- a été récupéré : ''Nous avons fait ceci et cela..''.. Mais non, vraiment non, Monsieur le Président ! Les infirmières, les urgentistes, les pompiers, les paysans ex-gilets jaunes, et tous les autres, de la première et de la deuxième lignes, sur qui vos Robocops suréquipés ont tapé semaine après semaine pendant des mois, alors qu'ils ne faisaient que... tirer la sonnette d'alarme sur la totalité exacte des manques et manquements qui ont été les vôtres, ont fait,tout ce qu'ils ont fait... contre l'impéritie de vos services obèses !
  Mais voilà le ciel bleu qui revient (personne n'avait remarqué qu'il n'était pas là, Dieu merci, depuis un bon mois!) : la date du printemps 2020 ? C'est le 11 mai, qu'on se le dise (amis lecteurs, vous venez d'échapper à un ''cons se le disent !), même si l'heure reste à préciser. Pour qu'il n'y ait pas de jaloux, 6 fois ''on est en guerre'' et 6 fois ''le 11 mai''... ont permis l'envolée  finale, qui s'est doublée d'une envolée sur l'envolée ! ''Quo non ascendat !''. Dix bonnes minutes de ''On est formidables ! On  peut faire face ; les beaux jours reviendront  l Notre économie doit repartir : nous devons la rebâtir plus forte... (NDLR - Pourquoi se payer de mots ? Rattraper le retard et ralentir l'envolée dingue de notre dette abyssale serait déjà formidable, surtout si, comme le demande un autre grand économiste, SS le Pape François, on remet la dette des pays pauvres sans contre partie ! Par pitié, ne visons pas ''plus haut que notre... sedia gestatoria !'', ce serait plus prudent !).
  Et pour après... Tous les espoirs nous sont permis, avec une précision et un sens du réel remarquables : ''il faut retrouver une indépendance stratégique (NB : ça veut dire quoi ?), notre autonomie, notre résilience, la solidarité, notre union''... Rien que des mots concrets. Et au milieu de tout ce fatras intellectuel, surgit soudain de nulle part... l'équilibre carbone, qui tombe comme un cheveu dans la soupe, complètement ''hors sujet''... mais pas moins que la référence permanente, derrière chaque mot, à l'Europe : il veut bien changer, puisqu'il l'a dit, mais pas sur ses idées, même lorsqu’elles se sont d’elles-mêmes démontrées mauvaises ! 
  Allons, Tout va bien, puisqu'on vous le dit : personne n'aurait pu faire mieux. Les masques  (tiens… oui ! Où sont-ils, ces masques ''dont commande a été passée'' ? On devait les distribuer ''à partir de lundi'' (depuis un mois), sauf que  personne n'a encore vu l'ombre de l'ombre du premier... Décidément ! Que l'Etat boursouflé peut être mauvais, dès qu'il s'agit d’obtenir des résultats concrets : il en est réduit à voler honteusement les masques dont le privé aurait inondé la France, si seulement on l'avait laissé faire ! Bref, dans la nécessité impérieuse de changer dont parle le Président, on termine sur le rituel et inutile Vive la République (qui pense à la renverser ?). Et, loin derrière, Et vive la France ! Pauvre France ! 
Dernière minute : A l’instant précis où je vais poster ce ‘’billet’’, un ancien Ministre de la république (mais c’est un ami, donc il n’est pas de la même couleur que nos dirigeants actuels), me transmet un discours de GW Bush (le fils) sur le même sujet... mais prononcé en Novembre 2005. J’en rajoute un extrait à ce ‘’billet’’, tant il est révélateur de deux façons d’envisager une responsabilité présidentielle. "Si nous attendons qu'une pandémie apparaisse, ce sera trop tard pour se préparer... De nombreuses vies pourraient être perdues inutilement parce que nous avons manqué d'agir aujourd'hui... Une grippe pandémique arrive quand une nouvelle souche virale émerge et peut se transmettre facilement d'une personne à une autre et pour laquelle il y a peu ou pas d'immunité naturelle. Contrairement à la grippe saisonnière, la plupart des gens n'ont pas bâti d'immunité..; Elle peut tuer ceux qui sont jeunes et en bonne santé aussi bien que ceux qui sont fragiles et malades"... etc... etc... C’est affligeant ! (NDLR : Il suffit de taper sur votre navigateur   ‘’Quand George W. Bush présentait son grand plan anti-pandémie en 2005′’)... Et dire que nos idiots n’avaient pas de mots pour l’insulter, le ridiculiser, le moquer  !
H-Cl
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etoile-celeste · 3 years ago
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Le 17 décembre est le 351e jour de l'année du calendrier grégorien, le 352e en cas d'année bissextile, et symbolise à ce titre la période de l'apparition, "sur Terre" et dans ses eaux, des premiers animaux invertébrés, d'abord surtout subaquatiques, dans le calendrier cosmique de l'astronome Carl Sagan (en proportion, "seulement" plus de 11 mois et demi, après le 1er janvier symbolisant quant à lui le Big Bang), tel un « calendrier astronomique de l'Avent » décomptant à rebours, mais de manière "accélérée" (à l'échelle de l'humanité), à partir de ce 17 voire du 15 décembre. Il reste 14 jours avant la fin de l'année.
C'était généralement le 27e jour du mois de frimaire dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du liège.
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ceeturnalia · 5 years ago
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Today is primidi 21 Ventôse in the year of the Republic CCXXVIII, celebrating the mandrake. (via twitter)
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encychrono25 · 3 years ago
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C'était généralement le 22e jour du mois de frimaire dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la bruyère.
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reseau-actu · 6 years ago
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David Desgouilles analyse les retombées politiques de l'affaire Benalla pour Emmanuel Macron. Il y voit le délitement de la stature jupitérienne du président.
David Desgouilles est membre de la rédaction de Causeur. Il a publié Le bruit de la douche, une uchronie qui imagine le destin de DSK sans l'affaire du Sofitel (éd. Michalon, juin 2015), etDérapage (éd. du Rocher, 2017).
FIGAROVOX.- L'affaire Benalla semble prendre une importance considérable. Est-on en train d'assister à un «scandale politique», à une «affaire d'État», comme certains la qualifient?
David DESGOUILLES.- L'accumulation de toutes les informations que nous recevons depuis mercredi soir nous incite à le penser. Et ce n'est sans doute pas fini. Finalement, après que les députés LREM avaient refusé une commission d'enquête parlementaire dans un premier temps, c'est la Commission des lois qui va en prendre la forme à partir de la semaine prochaine. Nous ne sommes peut-être pas au bout de nos surprises. Il semble que le ministre de l'Intérieur et le directeur de cabinet du Chef de l'État avaient connaissance de faits délictueux - dont le plus grave est sans doute l'usurpation de la qualité de policier par un membre du cabinet du président - et qu'ils n'ont pas saisi le Parquet comme le code de procédure pénale les y obligeait. Nous sommes au cœur du fonctionnement de l'appareil d'État. C'est grave.
Nous sommes au cœur du fonctionnement de l'appareil d'État. C'est grave.
Comment comprendre la communication discrète et en retrait d'Emmanuel Macron dans cette affaire? A-t-il perdu la main?
Jeudi matin, il a laissé le porte-parole de l'Élysée, Bruno Roger-Petit monter au front. C'est symptomatique de l'appréciation que le Château avait de cette affaire. En effet, Bruno Roger-Petit joue un rôle de porte-parole auprès des journalistes. Cela signifiait donc qu'ils pensaient que c'était une histoire de journalistes qui ne concernerait pas les Français en plein été après la victoire française en coupe du monde. L'erreur de communication est là.
Mais la com' n'est pas tout. Cette affaire - même si elle s'arrêtait après la seule démission d'Alexandre Benalla, ce qui serait étonnant - aura des répercussions sur la vision que les Français ont de l'incarnation de la fonction présidentielle par celui qu'ils ont élu en mai 2017. Pour deux raisons.
La première tient au fait que pour la première fois, Emmanuel Macron n'a plus été le maître des horloges. Il n'a pas pu imposer son calendrier, cédant à la pression ce vendredi matin de lancer la procédure de licenciement alors qu'hier, son porte-parole expliquait que le conseiller fautif avait été déjà sanctionné.
Cette affaire aura des répercussions sur la vision que les Français ont de l'incarnation de la fonction présidentielle par celui qu'ils ont élu en mai 2017.
La seconde, c'est que l'idée de monarque républicain qu'il souhaitait incarner part en quenouille. Le monarque républicain, Jupiter, ne tient sa légitimité que grâce à la garantie qu'il se tient au-dessus des partis. Dès lors qu'on apprend qu'il ne se comporte plus ainsi mais protège des proches, lesquels se croient tout permis du fait de ladite proximité, l'édifice s'écroule. Il n'est plus Jupiter, il n'est plus le monarque mais un chef de bande, de clan, ou de faction, pour rappeler la philippique de François Mitterrand.
La communication des membres de l'Élysée (Benjamin Griveaux et Bruno Roger-Petit) explique que le gouvernement n'est pas en tort, de même que les députés LREM ont refusé dans un premier temps une commission d'enquête. Pourquoi un tel déni?
Parce qu'ils ne peuvent plus guère faire autrement. Pour toutes les raisons que je viens de vous expliquer. On touche au cœur de la pratique de la fonction présidentielle. Nous avions eu une présidence «De Funès», puis une présidence «Bourvil». Les Français pensaient avoir élu un homme qui allait renouer avec une pratique gaullo-mitterandienne de la fonction présidentielle et ils se retrouvent avec une présidence «Rambo». Ce n'était pas du tout le contrat!
Les Français pensaient avoir élu un homme qui allait renouer avec une pratique gaullo-mitterandienne de la fonction présidentielle et ils se retrouvent avec une présidence « Rambo ».
Les communicants d'Emmanuel Macron en sont tout à fait conscients. C'est pourquoi la seule solution qu'il leur reste est de minimiser, minimiser, et encore minimiser, le temps que tout le monde parte en vacances. C'est pourquoi le président de la République n'intervient pas lui-même. Il veut donner l'impression qu'il est au-dessus de tout cela. Céder une nouvelle fois en intervenant directement constituerait un aveu qu'il a renoncé à être Jupiter. Qu'il subit les événements. C'est pourquoi il serre les dents en attendant que ça passe, bénissant le fait que l'affaire sorte en plein mois de juillet. Au mois de septembre, cela aurait été pire encore.
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